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Enterrement musulman dĂ©roulement des obsĂšques et rites funĂ©raires Temps de lecture estimĂ© 7 minutes introduction Dans le rite funĂ©raire musulman, la mort est considĂ©rĂ©e comme un Ă©tat de passage. Selon les croyances, durant une pĂ©riode de 40 jours, l’ñme reste dans la tombe. Quel est le dĂ©lai d’inhumation Ă  respecter selon l’Islam ? La mise en terre doit-elle s’effectuer en France ou dans un pays musulman Maroc, AlgĂ©rie, Tunisie, SĂ©nĂ©gal etc. ? La tradition musulmane dĂ©conseille-t-elle certaines pratiques ou encore la prĂ©sence de femmes ou de fleurs ? Sommaire DĂ©lai d’inhumation Interdictions selon le rite musulman – Comment s’habiller pour un enterrement musulman ? La toilette rituelle Le dĂ©roulement de la mise en terre Le deuil dans l’Islam DĂ©lai d’inhumation Dans les pays de l’islam, l’inhumation doit avoir lieu dans les 24 heures suivant le dĂ©cĂšs avant le coucher du soleil si le dĂ©cĂšs a eu lieu le matin, le lendemain matin s’il est survenu le soir. Le jour de l’inhumation, tous les hommes doivent se joindre au cortĂšge. Les Musulmans n’organisent pas de veillĂ©e funĂ©raire et l’enterrement musulman reste trĂšs sobre et France, les dĂ©lais d’inhumation sont forcĂ©ment plus longs du fait des dĂ©marches administratives. MĂȘme constat dans le cas d’un rapatriement puisque qu’ils dĂ©pendent des vols. Si l’inhumation a lieu en France, elle devra s’effectuer dans un carrĂ© musulman et ce dans les plus brefs dĂ©lais. Les cercueils sont obligatoires en France pour des raisons d’ordre sanitaire. Interdictions selon le rite musulman – Comment s’habiller pour un enterrement musulman ? Le prophĂšte ne recommande pas aux femmes d’ĂȘtre prĂ©sentes au cimetiĂšre le jour de l’enterrement pour des raisons protectrices du fait qu’elles soient plus selon la tradition, les femmes restent en retrait de quelques mĂštres le temps de la mise en terre puis viennent se recueillir une fois le cercueil les fleurs, il est de coutume de ne pas en offrir Ă  la famille du dĂ©funt. Les priĂšres restent plus la tenue vestimentaire il n’y a pas de recommandations particuliĂšres, il faut simplement s’habiller de façon sobre et SAVOIRLa crĂ©mation, la thanatopraxie et le don d’organes ne sont pas autorisĂ©s dans les rites funĂ©raires musulmans. Un verset du Coran prĂ©cise qu’aucune atteinte Ă  l’oeuvre de Dieu ne doit ĂȘtre commise. La toilette rituelle AprĂšs sa mort, le dĂ©funt est prĂ©parĂ© pour sa nouvelle vie. Les yeux du dĂ©funt sont fermĂ©s et sa mĂąchoire maintenue fermĂ©e. Dans la religion musulmane, le corps du dĂ©funt est considĂ©rĂ© comme impur, il est donc important de rĂ©aliser des soins de purification. La toilette purificatrice se fait de maniĂšre trĂšs minutieuse. AprĂšs avoir placĂ© le corps tĂȘte vers la Mecque, celui-ci est lavĂ© 3 fois puis essuyĂ© et enveloppĂ© dans un nombre impair de tissu blanc gĂ©nĂ©ralement 3 piĂšces d’étoffe blanche non cousues. Les membres supĂ©rieurs sont, soit placĂ©s le long du corps, paumes tournĂ©es vers le haut, soit croisĂ©s sur la toilette doit ĂȘtre faite par 4 personnes du mĂȘme sexe que le dĂ©funt mais il est autorisĂ© au veuf ou Ă  la veuve de faire la toilette de son conjoint. Le dĂ©roulement de la mise en terre Le transport du corps jusqu’à la tombePour transporter le corps du domicile au cimetiĂšre, 4 hommes soulĂšvent la civiĂšre sur laquelle est placĂ© le dĂ©funt recouvert d’un drap. On fait sortir le dĂ©funt la tĂȘte la premiĂšre pendant que les assistants rĂ©citent la Shahada sans fin Il n’y a de Dieu que Dieu et Muhammad est son prophĂšte ». Tous ceux qui croisent le cortĂšge funĂšbre doivent s’y joindre et l’accompagner jusqu’au cimetiĂšre. Une fois arrivĂ© au cimetiĂšre, la civiĂšre cercueil en France est dĂ©posĂ©e prĂšs de la corps du dĂ©funt doit ĂȘtre lĂ©gĂšrement couchĂ© sur le cĂŽtĂ© droit lors de la mise en biĂšre. Son visage et non l’axe de son corps doit ĂȘtre placĂ© en face de l’axe de La Mecque en direction du Sud-Est de la France si l’inhumation a lieu Ă  Paris.A SAVOIREn France, un cercueil est obligatoire mais celui-ci est gĂ©nĂ©ralement en bois lĂ©ger, sans capiton. Une dalle est ensuite placĂ©e juste au dessus du corps et l’on remplit ensuite la partie supĂ©rieure de la fosse de priĂšres musulmanesLors des obsĂšques, l’imam prononce la priĂšre des morts » qui comprend des glorifications d’AllĂąh prononcĂ©es Ă  haute voix. Cette priĂšre est trĂšs diffĂ©rente des autres puisqu’elle est brĂšve et se rĂ©cite sans gĂ©nuflexion ni prosternation. L’assistance reste donc debout. La priĂšre peut ĂȘtre prononcĂ©e Ă  la mosquĂ©e ou alors au funĂ©rarium avant le convoi au priĂšre comprend 4 tekbir qui sont des glorifications d’AllĂąh prononcĂ©es Ă  haute voix. AprĂšs le premier tekbir, on rĂ©cite la Fatiha premiĂšre sourate du Coran.AprĂšs le second tekbir, on rĂ©cite la priĂšre sur le ProphĂšte et aprĂšs la troisiĂšme, celle pour le repos de l’ñme du dĂ©funt. Le visage du dĂ©funt est alors dĂ©couvert et l’assistance est invitĂ©e devant lui aprĂšs la priĂšre. Deux jeunes gens descendent alors dans la tombe et placent le dĂ©funt sur le cĂŽtĂ© droit, visage tournĂ© vers la Ka’aba. De maniĂšre assez gĂ©nĂ©rale, l’inhumation se fait en pleine terre dans les pays musulmans. Le deuil dans l’Islam Chez les Musulmans, le deuil revĂȘt quelques dure trois jours chez les proches du dĂ©funt. Quelques rĂšgles doivent ĂȘtre observĂ©es pendant ce laps de temps il est possible de pleurer, il n’est pas recommandĂ© de pratiquer des activitĂ©s ludiques, de se parfumer ou de porter des bijoux, il est possible de se rendre au cimetiĂšre visiter le dĂ©funt mais ces visites doivent rester discrĂštes et ne doivent pas ĂȘtre trop rĂ©guliĂšres. Pendant ces trois jours, la famille reçoit des condolĂ©ances et des priĂšres sont rĂ©citĂ©es. Toute la communautĂ© soutient la famille en deuil et lui prĂ©pare les repas. A la fin des trois jours de deuil, les Musulmans sont invitĂ©s Ă  ne pas lire le Coran ou inviter des proches lors des dates anniversaires du dĂ©funt. Le troisiĂšme et quatriĂšme jour de deuil sont dĂ©diĂ©s Ă  la priĂšre. Les quarante jours suivants l’enterrement sont Ă©galement importants la famille se retrouve rĂ©guliĂšrement au cimetiĂšre pendant cette pĂ©riode, le quarantiĂšme jour est marquĂ© par un gros repas pris en commun, c’est le signe officiel de la fin de la pĂ©riode de dĂ©finit quelques rĂšgles particuliĂšres pour la femme endeuillĂ©e. La veuve porte le deuil pendant une pĂ©riode pouvant aller de dix jours Ă  quatre mois. Elle est invitĂ©e Ă  ne pas porter de vĂȘtements ostentatoires ou de bijoux et est invitĂ©e Ă  ne pas quitter son domicile sans nĂ©cessitĂ©. Elle ne peut pas ĂȘtre demandĂ©e en mariage pendant cette pĂ©riode. Faites une estimation avant de comparer les devis service gratuit et sans engagement Estimer maintenant Les derniers conseils 1 juin 2022 Quelles sont les derniĂšres tendances des cĂ©rĂ©monies funĂ©raires civiles ? Lire le conseil 4 octobre 2021 Comment rĂ©diger un testament et le conserver ? 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Lorsde la priÚre commune !. Salem à tous , Je voudrais juste savoir comment on fait lorsqu'on va prier à la mosquée et que l'Imam récite une sourate que on ne connait pas !!
C'est par ici, rentrez !», lance un jeune prĂ©adolescent postĂ© cĂŽtĂ© rue, invitant les automobilistes Ă  dĂ©tourner leur chemin pour entrer dans la maison situĂ©e derriĂšre lui. AprĂšs avoir enlevĂ© ses chaussures, le visiteur est invitĂ© Ă  monter Ă  la salle de priĂšre Ă  l'Ă©tage. Nous sommes Ă  l'association franco-turque de Sarre-Union, ville de 3 300 habitants au nord de l'Alsace. Ce dimanche 18 mai, elle Ă©tait ouverte au public, tout comme les lieux des quatre autres cultes prĂ©sents dans la ville, dans le cadre d'une journĂ©e interreligieuse, premiĂšre du genre ici, organisĂ©e sous l'Ă©gide non pas des institutions ecclĂ©siales mais du conseil rĂ©gional voir encadrĂ©, dans cinq villes d'Alsace. Ce Rendez-vous des religions », frĂ©quentĂ© au total par au moins 1 500 personnes Ă  Sarre-Union, Saverne, Guebwiller, Strasbourg et Colmar, a Ă©tĂ© vĂ©cu Ă  Sarre-Union comme une grande fĂȘte », explique Mehmet, dĂ©sormais rentrĂ© dans la maison. Aujourd'hui, tout le monde vient chez nous, on est contents de leur prĂ©senter notre religion », lance-t-il, sans perdre du regard les nouveaux arrivants Ă  qui il distribue une invitation Ă  la kermesse de l'association, qui a lieu le week-end prochain. PriĂšre commune À l'Ă©tage, pieds nus sur les tapis, l'Ă©change est chaleureux. Le prĂ©sident de l'association dĂ©taille la façon de prier des musulmans, et glisse vous savez parfois, quand on est seul Ă  la maison, c'est parfois la meilleure priĂšre ». Oui c'est vrai, ou mĂȘme en marchant ! », rĂ©torque une dame, vraisemblablement chrĂ©tienne. En bas, un flot de femmes voilĂ©es et leurs maris reviennent de l'Ă©glise catholique, qu'ils sont allĂ©s visiter. On voudrait refaire ça tous les ans, c'est trĂšs important de se connaĂźtre, et cela peut contribuer Ă  changer l'image des musulmans », commente un homme d'une quarantaine d'annĂ©es, qui n'avait mis les pieds dans une Ă©glise que lors d'obsĂšques. En fin d'aprĂšs-midi, tous les participants Ă  cette journĂ©e se retrouvent pour une priĂšre commune Ă  la synagogue, archi-comble, alors qu'elle ne sert habituellement plus. Mehmet s'y tient attentif, au premier rang. AprĂšs la prĂ©sentation de quelques chants traditionnels juifs, c'est dans une intense Ă©motion que les reprĂ©sentants des autres cultes rejoignent le rabbin pour lire un psaume d'une seule voix, accompagnĂ©s par toute l'assistance, s'adressant sans sourciller Ă  un mĂȘme YahvĂ© ». Ombres au tableau ? Le geste est fort, dans une ville qui a votĂ© fortement Front national Ă  plusieurs Ă©lections rĂ©centes, et oĂč le dialogue interreligieux ne date que de trois ou quatre ans un office commun y a dĂ©jĂ  Ă©tĂ© organisĂ© l'an dernier, sur une place publique. À la sortie, les discussions se nouent sur le parvis, et tous se dirigent vers la salle de la table ronde, oĂč chaque culte va prĂ©senter sa fĂȘte la plus importante, introduction Ă  une annĂ©e oĂč chacun s'est engagĂ© Ă  y inviter les autres, explique le pasteur Jean-Daniel Faivre. Au mĂȘme moment, Ă  Strasbourg, une table ronde commence sur Comment les religions peuvent-elles vivre et travailler ensemble en Alsace ? ». Tous les intervenants Jean-François Collange, prĂ©sident de l'Union des Églises protestantes d'Alsace et de Lorraine, le rabbin Nicolas Aron Eliacheff, Abdelhamid Youyou, directeur des affaires culturelles de la Grande MosquĂ©e de Strasbourg, Mgr Jean-Pierre Grallet, archevĂȘque de Strasbourg, et Olivier Reigen Wang-Genh, prĂ©sident de l'Union bouddhiste de France dĂ©fendent Ă  peu de choses prĂšs le mĂȘme discours l'entente entre eux est trĂšs bonne, le dialogue interreligieux fĂ©cond, encouragĂ© par une population alsacienne intĂ©ressĂ©e par le fait religieux. Au risque de nier les ombres au tableau ? Le bouddhiste Olivier Reigen Wang-Genh regrette quand mĂȘme que ce soit la premiĂšre fois que l'on est conviĂ© Ă  un tel Ă©vĂ©nement. C'est trĂšs bien, mais en temps normal on ne nous consulte pas beaucoup. » "Maison des religions" La reprĂ©sentante de la communautĂ© juive libĂ©rale, Isabelle Marx, dĂ©crit, elle, un manque de reconnaissance de son courant de pensĂ©e, Ă  cĂŽtĂ© du trĂšs officiel consistoire. Faisant rĂ©fĂ©rence aux tensions dans les quartiers, elle rappelle aussi que le dialogue interreligieux ne doit pas concerner que les tĂȘtes pensantes mais doit ĂȘtre aussi favorisĂ© sur le terrain. Pour ne pas en rester lĂ , le conseiller rĂ©gional Jean-Jacques Fritz, chargĂ© du suivi du fonds de soutien aux initiatives interreligieuses, a relancĂ© une idĂ©e concrĂšte, dĂ©jĂ  Ă©voquĂ©e au sein du groupe interreligieux qui se rĂ©unit au conseil rĂ©gional, d'une Maison des religions », lieu permanent de dialogue, de pĂ©dagogie et de documentation sur tous les cultes prĂ©sents en Alsace. Tous les reprĂ©sentants des cultes y ont apportĂ© leur accord de principe.

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Sophie de Villeneuve Un internaute se demande pourquoi faire dire des messes pour les dĂ©funts. À quoi cela sert-il ? Est-ce pour le salut de leur Ăąme, ou afin qu'ils prient pour nous ?L. F. Faire dire une messe », l'expression est courante, mĂȘme dans la bouche d'un prĂȘtre, mais elle est discutable. La messe est une cĂ©lĂ©bration, et non un cĂ©rĂ©monial, elle est une liturgie, c'est-Ă -dire une action du peuple chrĂ©tien. Mais c'est une trĂšs bonne question, qui Ă©voque l'expĂ©rience de la communion des saints. Par la priĂšre, par l'action liturgique, on transgresse les frontiĂšres gĂ©ographiques et historiques. On peut ĂȘtre sĂ©parĂ©s par des milliers de kilomĂštres, ou mĂȘme par des disputes ou des incomprĂ©hensions, on peut ĂȘtre sĂ©parĂ©s la mort qui semble dĂ©finitive et radicale. Mais par la priĂšre et l'action liturgique, les deux frontiĂšres gĂ©ographique et historique sont messe transgresse ces frontiĂšres-lĂ  ?L. F. La messe, la priĂšre, la liturgie transgressent ces frontiĂšres. MĂȘme une toute petite assemblĂ©e nous met en communion avec tous les chrĂ©tiens de tous les lieux et de tous les temps. Et quand nous lisons les Ă©crits d'un saint du passĂ©, comme ThĂ©rĂšse de Lisieux que le pape François affectionne, malgrĂ© l'Ă©criture un peu vieillotte, le langage un peu fleuri, quelque chose se met Ă  palpiter en nous. Et la frontiĂšre culturelle et historique est qu'une cĂ©lĂ©bration eucharistique apporte de plus ? La priĂšre toute simple ne suffit-elle pas ?L. F. La priĂšre est bien sĂ»r essentielle, elle permet de se relier aux autres. J'aime particuliĂšrement le Je vous salue Marie, qui dit Ă  la fin maintenant et Ă  l'heure de notre mort ». C'est une priĂšre que chacun dit personnellement Je vous salue », mais qui nous relie aux autres Ă  l'heure de notre mort ». Par cette priĂšre, et par bien d'autres, on peut se rendre prĂ©sent au moment ultime oĂč quelqu'un arrive devant le PĂšre. MĂȘme si l'on n'a pas pu ĂȘtre prĂ©sent au moment du dĂ©cĂšs d'un proche, on peut y communier par la priĂšre. Quant Ă  la liturgie eucharistique, elle est la source et le sommet de la communion. Car par l'action eucharistique, nous sommes rendus prĂ©sents au moment de la mort et de la rĂ©surrection du veut-il dire que quand nous cĂ©lĂ©brons une eucharistie pour les dĂ©funts, nous sommes mis en prĂ©sence de ces personnes ?L. F. On est surtout mis en prĂ©sence du Christ ressuscitĂ©, qui prĂ©side la liturgie Ă  travers le ministre qui la prĂ©side en son nom. A travers le Christ, nous sommes en communion avec les personnes que nous avons aimĂ©es et qui ne sont plus lĂ , et nous sommes aussi en communion avec les personnes que nous n'avons pas beaucoup aimĂ©es. De ce point de vue-lĂ  aussi, il y a une forme de transgression dans l'action eucharistique nous sommes invitĂ©s Ă  entrer en communion avec aussi cĂ©lĂ©brer une messe pour que le dĂ©funt aille au paradis », comme on disait autrefois ?L. F. Il est vrai qu'Ă  une Ă©poque, il y avait comme un grand marchandage plus on faisait dire de messes pour un dĂ©funt, plus on Ă©tait sĂ»r qu'il prenne le bon chemin. Et il faut bien reconnaĂźtre que cette reprĂ©sentation a marquĂ© le catholicisme, il en reste des traces. Mais si l'on veut bien examiner ce qui est cĂ©lĂ©brĂ© dans la liturgie, on voit bien que ce n'est pas ce qui est en jeu. Nous ne marchandons pas avec Dieu, c'est lui qui fait grĂące, et nous acceptons librement de recevoir cette grĂące. Dans la priĂšre eucharistique, on prie pour les vivants, pour tous les dĂ©funts, et plus particuliĂšrement pour tel ou tel quand une intention de priĂšre a Ă©tĂ© demandĂ©e. On prĂ©sente les personnes dĂ©funtes Ă  la misĂ©ricorde de Dieu, il ne s'agit en rien d'un veut dire qu'on est en communion avec elles, que l'on peut se rĂ©concilier avec elles Ă  travers la priĂšre et la cĂ©lĂ©bration ?L. F. On peut entrer dans un chemin de rĂ©conciliation qui sera achevĂ© quand on les retrouvera. En cette annĂ©e de la misĂ©ricorde, hĂątons-nous de nous rĂ©concilier d'abord avec nos frĂšres tant qu'ils sont vivants ! Ce qui n'est pas dĂ©nouĂ© ici-bas ne pourra l'ĂȘtre que plus tard, en rĂ©concilions-nous avant la mort !L. F. Oui, parce qu'on a encore la chance de pouvoir le se dire aussi que grĂące Ă  ces messes pour nos dĂ©funts, quand nous sommes en communion avec eux, ils peuvent nous aider, et faire encore partie de notre vie ?L. F. En rĂ©alitĂ©, ils font toujours partie de notre vie, particuliĂšrement ceux qui nous ont marquĂ©s un membre de notre famille, un saint, un Ă©ducateur. En vieillissant, nous prenons de plus en plus conscience de ceux grĂące auxquels nous sommes devenus ce que nous sommes. Et nous mesurons Ă  quel point nous sommes encore en lien avec nos aĂźnĂ©s, moi-mĂȘme par exemple avec mes grands-parents dĂ©cĂ©dĂ©s depuis longtemps, ou d'autres personnes encore qui ont beaucoup comptĂ© dans mon semblez n'aimer guĂšre parler des messes pour le salut de l'Ăąme de tel ou tel qui en aurait bien besoin, du purgatoire, du paradis
L. F. Accueillir la grĂące de Dieu demande tout un cheminement, qui commence ici-bas et s'achĂšvera en Dieu le PĂšre. La cĂ©lĂ©bration eucharistique ne vise pas Ă  faire avancer une cause, elle signifie que nous sommes en chemin, ensemble, y compris avec ceux qui sont dĂ©jĂ  cette cĂ©lĂ©bration nous concerne aussi ?L. F. Pas seulement, mais dire Ă  ceux qui se demandent s'ils doivent continuer Ă  faire cĂ©lĂ©brer des messes pour leurs dĂ©funts ?L. F. Ils doivent bien sĂ»r poursuivre cette heureuse pratique, qui est aussi une trĂšs bonne occasion de provoquer un rassemblement avec les aussi une occasion de rĂ©flĂ©chir Ă  sa propre mort ? Faut-il penser Ă  la mort ?L. F. Je ne sais pas qui n'y pense pas ! L'avantage de la liturgie eucharistique, c'est que le mot mort » y est publiquement prononcĂ©, ce qui est rare dans notre sociĂ©tĂ©. Et, dans la liturgie eucharistique, on est plongĂ© dans mort et dans la rĂ©surrection. Pas seulement dans la rĂ©surrection, mais aussi dans la mort ; pas seulement dans la mort, mais aussi dans la une façon de rappeler que la rĂ©surrection est notre aboutissement ?L. F. Nous sommes appelĂ©s Ă  la rĂ©surrection, et nous y sommes appelĂ©s dĂšs maintenant. Nous sommes en route vers la mort et vers la rĂ©surrection, qu'il faut anticiper autant que rĂ©surrection, qu'est-ce que c'est exactement ?L. F. C'est accueillir vraiment la vie que Dieu veut pour nous, qui sera complĂštement renouvelĂ©e. Les rĂ©cits des apparitions du Christ ressuscitĂ© sont la meilleure illustration, Ă  travers une expĂ©rience et des mots humains, de ce qu'est la rĂ©surrection. Et le pardon et le service sont les deux lieux essentiels oĂč s'expĂ©rimente la rĂ©surrection, qui est dĂ©jĂ  Ă  l'Ɠuvre en nous, mais que nous ne goĂ»terons que tout Ă  la lien que nous gardons avec nos dĂ©funts est-il utile Ă  notre progression vers la rĂ©surrection ?L. F. Il fait partie de tout ce qui est Ă  notre disposition pour cette marche commune, ce synode "route avec", en grec, comme dirait le pape François. Lepape a saisi l’occasion de son voyage en Terre sainte pour inviter les prĂ©sidents israĂ©lien Shimon Peres et palestinien Mahmoud Abbas Ă  venir prier pour la paix au Vatican. Pour Marco
La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 6 lettres et commence par la lettre O Les solutions ✅ pour INVITATION À LA PRIÈRE de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "INVITATION À LA PRIÈRE" 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
LepĂšlerinage de confiance est d’abord une rencontre, avec le Christ ressuscitĂ© et avec les autres. GrĂące Ă  la priĂšre commune, chacun se rend disponible Ă  Dieu. Et par le partage et l’hospitalitĂ©, tous acceptent de dĂ©passer les frontiĂšres et les diffĂ©rences pour s’accueillir et s’enrichir mutuellement. 5 priĂšres puissantesABONNEZ-VOUS ET TELECHARGEZ CE LIVRE GRATUITEMENT!ABONNEZ-VOUS ET TELECHARGEZ CE LIVRE GRATUITEMENT! ABONNEZ-VOUS et tĂ©lĂ©chargez ce mini Ebook gratuitement! 5 priĂšres puissantes Lorsque JĂ©sus nous a appris Ă  prier, Il a dĂ©montrĂ© l’importance de prier d’abord et en prioritĂ© pour le rĂšgne de Dieu. L’église est l’agent de l’expansion du royaume de Dieu sur la terre. Plus que jamais, nous avons besoin d’églises locales puissantes qui gagnent des Ăąmes et font des disciples. Voici cinq sujets de priĂšre que chacun peut faire pour son Ă©glise locale. Ils couvrent principalement les domaines de la parole et l’expansion du royaume. Notez les, faites les rĂ©guliĂšrement. Substituez le nom de votre Ă©glise pour ABBA HOUSE bien entendu. 1. PĂšre au nom de JĂ©sus, par la prĂ©dication de Ta parole, que la rĂ©vĂ©lation soit donnĂ©e Ă  chaque enfant de Dieu Ă  Abba House, afin qu’ils aient de l’intelligence divine et vivent une vie d’exploits. Psaumes 119130Segond 21 SG21 130 La rĂ©vĂ©lation de tes paroles Ă©claire, elle donne de l’intelligence Ă  ceux qui manquent d’expĂ©rience. 2. PĂšre, au nom de JĂ©sus, donne Ă  chaque enfant de Abba House les paroles qu’il faut pour communiquer l’évangile et devenir des gagneurs d’ñmes. ÉphĂ©siens 619Segond 21 SG21 19 Priez pour moi afin que, lorsque j’ouvre la bouche, la parole me soit donnĂ©e pour faire connaĂźtre avec assurance le mystĂšre de l’Evangile. 3. PĂšre, au nom de JĂ©sus, que Ta parole prĂȘchĂ©e dans mon Ă©glise se propage de plus en plus, conduisant ainsi Ă  un accroissement spectaculaire de notre Ă©glise. Actes 67Segond 21 SG21 7 La parole de Dieu se propageait de plus en plus, le nombre des disciples augmentait beaucoup Ă  JĂ©rusalem et une grande foule de prĂȘtres obĂ©issaient Ă  la foi. 4. PĂšre, au nom de JĂ©sus, suscite en chaque membre de ABBA HOUSE un esprit de priĂšre afin que tu agisses en notre faveur pour la multiplication de ce troupeau et que Ta grandeur soit reconnue. Que des foules envahissent cette Ă©glise en cette annĂ©e 2018 et au-delĂ . ÉzĂ©chiel 3637 »Voici ce que dit le Seigneur, l’Eternel Je me laisserai de nouveau consulter par la communautĂ© d’IsraĂ«l afin d’agir en leur faveur et je multiplierai les hommes comme un troupeau. 38 Les villes en ruine seront remplies de troupeaux d’ĂȘtres humains pareils aux troupeaux consacrĂ©s, aux troupeaux de JĂ©rusalem pendant ses fĂȘtes. Ils reconnaĂźtront alors que je suis l’Eternel.» 5. PĂšre, au nom de JĂ©sus, donne la sagesse divine Ă  notre Pasteur et Ă  tous les leaders et mentors afin que cette maison Abba House puisse ĂȘtre Ă©difiĂ©e, affermie et continue de croĂźtre. Proverbes 243-5 SG21 3 C’est par la sagesse qu’une maison est construite et par l’intelligence qu’elle s’affermit; 4 c’est par la connaissance que les chambres se remplissent de toutes sortes de biens prĂ©cieux et agrĂ©ables. 5 Un homme sage est plein de force, et celui qui a de la connaissance consolide sa puissance. Je ne peux que vous encourager Ă  prier tous les jours pour l’oeuvre de Dieu. Mettez un temps Ă  part chaque jour et portez les projets de Dieu en priĂšre. Priez particuliĂšrement pour le salut des Ăąmes. Pour vous Ă©difier davantage, n’hĂ©sitez pas Ă  visionner la sĂ©rie d’émissions PASSION POUR DIEU sur la priĂšre du Notre PĂšre’. Cliquez sur l’image ci-dessous. Share Ceblog est une invitation au partage des informations des diffĂ©rentes activitĂ©s entre tous les acteurs pastoraux de l'ensemble pastoral de "La VallĂ©e du RĂ©veillon", regroupant les cinq paroisses de Mandres-les-Roses, Marolles-en-Brie, PĂ©rigny-sur-Yerres, Santeny et Villecresnes (DiocĂšse de CrĂ©teil). mercredi 25 mars 2020. Invitation priĂšre commune Voici quelques rappels simples pour redĂ©couvrir la richesse et le sens de ce que nous cĂ©lĂ©brons Ă  la messe. Par l’Équipe Liturgie de la CommunautĂ© de l’’Emmanuel A SAVOIR La PrĂ©sentation gĂ©nĂ©rale du missel romain ou PGMR Le document de rĂ©fĂ©rence pour la cĂ©lĂ©bration de la messe s’appelle la PrĂ©sentation gĂ©nĂ©rale du missel romain PGMR. Il se trouve au dĂ©but du missel utilisĂ© par le prĂȘtre pour cĂ©lĂ©brer la messe. Sa derniĂšre Ă©dition 2002 est disponible sur Internet. Ce document prĂ©cise le sens de chaque rite, parole ou geste, et propose diverses maniĂšres de le mettre < en Ɠuvre en fonction des circonstances. PETIT LEXIQUE SC Sacrosanctum concilium. CEC CatĂ©chisme de l’Église catholique. EG Evangelium Gaudium La Joie de l’Évangile, Pape François. Avant la messe ‱PrĂȘter attention Ă  l’appel des cloches, premier signe de l’appel de Dieu. ‱Se prĂ©parer Ă  une rencontre importante – Le jeĂ»ne eucharistique, au moins une heure avant de recevoir la communion, attise notre faim de cette rencontre. – Arriver un peu en avance pour avoir le temps de se recueillir. On peut aussi se prĂ©parer par la confession si cela est nĂ©cessaire, spĂ©cialement avant les grandes solennitĂ©s. – Exprimer par notre tenue vestimentaire que cette rencontre compte pour nous. rites d’ouverture Ils ont pour fonction de nous prĂ©parer Ă  cĂ©lĂ©brer les saints mystĂšres se rendre prĂ©sent Ă  Dieu, se reconnaĂźtre pĂ©cheur et accueillir le pardon de Dieu, commencer Ă  le remercier, sortir de sa priĂšre personnelle pour s’ouvrir Ă  la priĂšre commune, avec et pour les autres. Procession d’entrĂ©e accompagnĂ©e d’un chant Chant d’entrĂ©e Le but de ce chant est d’ouvrir la cĂ©lĂ©bration, de favoriser l’union des fidĂšles rassemblĂ©s, d’introduire leur esprit dans le mystĂšre du temps liturgique ou de la fĂȘte, et d’accompagner la procession du prĂȘtre et des ministres. » PGMR, 25. La procession exprime le mouvement de l’Église, en marche avec et par le Christ, vers le ciel ‱ La croix, signe de notre salut, est prĂ©cĂ©dĂ©e de l’encens qui monte vers Dieu comme une priĂšre de louange et d’adoration et qui est signe de sa prĂ©sence parmi nous. ‱ L’évangĂ©liaire est portĂ© solennellement par le diacre ou le prĂȘtre qui le dĂ©pose sur l’autel. ‱ Les cierges rappellent que JĂ©sus est la lumiĂšre du monde. ‱ Le prĂȘtre reprĂ©sente le Christ tĂȘte de l’Église, dont l’assemblĂ©e est le corps. Nous nous levons au dĂ©but du chant d’entrĂ©e pour accueillir le Seigneur par notre chant, prĂȘts Ă  le suivre et Ă  faire sa volontĂ©. S’il n’y a pas de chant d’entrĂ©e, en semaine par exemple, on lit l’antienne d’ouverture du missel. VĂ©nĂ©ration de l’autel. L’autel, Ă©tymologiquement altar lieu Ă©levĂ©, reprĂ©sente le Christ. Il a Ă©tĂ© consacrĂ© et marquĂ© de cinq croix signifiant les 5 plaies du Christ. C’est autour du Christ Ă©levĂ© » sur la croix que le peuple se rassemble pour cĂ©lĂ©brer sa rĂ©surrection. C’est lui le centre de toute l’action liturgique. C’est pourquoi on s’incline devant lui. Aux jours de fĂȘte, il est encensĂ©. L’autel renferme aussi des reliques de saints en signe de l’union de l’Église du ciel et de la terre dans le Christ. Le prĂȘtre embrasse l’autel. Les trois baisers de l’Eucharistie expriment la prĂ©sence du Seigneur dans l’autel 1er baiser, dans sa Parole 2e baiser – de l’évangĂ©liaire aprĂšs la lecture et dans le peuple rassemblĂ© 3e baiser de paix. Salutation d’ouverture Signe de croix. Le prĂȘtre avec toute l’assemblĂ©e fait le signe de la croix. Ce geste rĂ©sume toute l’histoire du salut. Il confesse le mystĂšre de la Sainte TrinitĂ© un seul Dieu en trois personnes, le salut intervenu par la croix et il rappelle notre baptĂȘme. La salutation Le Seigneur soit avec vous » Ă  laquelle l’assemblĂ©e rĂ©pond Et avec votre esprit » revient plusieurs fois au cours de la messe au dĂ©but de la cĂ©lĂ©bration, avant la lecture de l’Évangile, au dĂ©but de la priĂšre eucharistique et avant la bĂ©nĂ©diction finale. Ce petit dialogue, qui nous rend attentifs avant des moments importants, nous rappelle que la liturgie n’est pas un monologue. Elle est un dialogue entre le Christ et l’Église, exprimĂ© dans les rĂŽles diffĂ©renciĂ©s du sacerdoce ministĂ©riel et du sacerdoce commun. PrĂ©paration pĂ©nitentielle La prĂ©paration pĂ©nitentielle nous prĂ©pare Ă  cĂ©lĂ©brer dignement l’Eucharistie en nous faisant reconnaĂźtre nos pĂ©chĂ©s et accueillir la grĂące du pardon. Acclamation du Kyrie eleison. CÂŽest un chant par lequel les fidĂšles acclament le Seigneur et implorent sa misĂ©ricorde. » PGMR, 52. Cette invocation en grec, langue du Nouveau Testament, vient du mot Kyrios, traduction du Nom rĂ©vĂ©lĂ© de Dieu, YHWH. Par l’acclamation Kyrie eleison Seigneur, prends pitiĂ© », nous reconnaissons la Seigneurie de Dieu et la divinitĂ© du Christ, nous confessons que nous sommes pĂ©cheurs et confessons la misĂ©ricorde de Dieu. C’est un moment intense, qui rend gloire Ă  Dieu. Gloria Le Gloria est une hymne trĂšs ancienne et vĂ©nĂ©rable par laquelle l®Église, rassemblĂ©e dans lÂŽEsprit Saint, glorifie Dieu le PĂšre ainsi que lÂŽAgneau qu’elle supplie » PGMR, 53. Le Gloria prolonge l’acclamation du Kyrie. Il s’ouvre par le chant des anges lors de la venue au monde de JĂ©sus Lc 2, 13-14. À l’origine, c’est une priĂšre des laudes, composĂ©e en grec par l’Église d’Orient, oĂč elle est encore chantĂ©e chaque matin. On le chante tous les dimanches, solennitĂ©s et fĂȘtes, Ă  l’exception des dimanches de l’Avent et du CarĂȘme, pendant lesquels on se prĂ©pare Ă  l’exultation de joie de la NativitĂ© et de la RĂ©surrection en s’abstenant de le chanter. On ne peut jamais remplacer le texte de cette hymne par un autre. Le Gloria est entonnĂ© par le prĂȘtre ou, si cela est opportun, par un chantre ou par la chorale 
 Si on ne le chante pas, il doit ĂȘtre rĂ©citĂ© par tous, ensemble ou par deux chƓurs qui alternent » PGMR, 53. Comme pour toutes les piĂšces de l’ordinaire1, on veillera Ă  respecter le texte donnĂ© et Ă  choisir une mĂ©lodie rendant possible la participation de l’assemblĂ©e. Le Gloria est de prĂ©fĂ©rence chantĂ© par toute l’assemblĂ©e ou en alternance avec la chorale ou l’animateur, d’un seul tenant sans reprise d’un refrain », sauf dans les cas exceptionnels oĂč on l’estimerait nĂ©cessaire pour favoriser la participation de tous. PriĂšre/Collecte AprĂšs un temps de silence, le prĂȘtre prononce une priĂšre qui est appelĂ©e “collecte”, parce qu’elle rassemble les priĂšres de chacun des membres de l’assemblĂ©e. 1. L’ordinaire de la messe en latin, Ordo MissĂŠ est l’ensemble des priĂšres et parties invariables de la messe. Rite ou ritualisme ? CĂ©lĂ©brer la liturgie suppose d’ĂȘtre fidĂšle aux rites proposĂ©s afin d’entrer dans la foi reçue des apĂŽtres » en accueillant humblement ce mystĂšre qui nous dĂ©passe. En mĂȘme temps, le Missel romain offre souvent une certaine libertĂ© de mise en Ɠuvre et invite Ă  un discernement pastoral. À nous d’en vivre, afin de ne pas faire du rite un ritualisme. Surtout, rappelons-nous que manquer de charitĂ© est souvent plus grave que de ne pas respecter parfaitement une rubrique. L’humilitĂ©, le discernement, la priĂšre, ainsi qu’une certaine libertĂ© spirituelle sont indispensables pour vivre une cĂ©lĂ©bration liturgique authentique. LA PRÉPARATION PÉNITENTIELLE Il existe 3 possibilitĂ©s principales de prĂ©paration pĂ©nitentielle Missel Romain ‱ La plus courante Je confesse Ă  Dieu » et acclamation du Kyrie ‱ La plus courte, dont la nouvelle traduction est CĂ©lĂ©brant Prends pitiĂ© de nous, Seigneur » Peuple Nous avons pĂ©chĂ© contre toi » CĂ©lĂ©brant Montre-nous Seigneur ta misĂ©ricorde » Peuple Et donne-nous ton salut » et acclamation du Kyrie. ‱ La formule litanique triple invocation au Christ misĂ©ricordieux, rappel de ce qu’il a fait pour nous sauver et acclamation du Kyrie. D’autres rites peuvent tenir lieu de prĂ©paration pĂ©nitentielle Le rite de l’aspersion, rappel que par le baptĂȘme nous avons Ă©tĂ© plongĂ©s dans la mort et la rĂ©surrection du Christ et lavĂ©s de nos pĂ©chĂ©s ou la rĂ©citation des psaumes lorsque l’office laudes ou vĂȘpres est intĂ©grĂ© Ă  la messe. 2 La liturgie de la Parole Le Christ est lĂ  prĂ©sent dans sa Parole, car c’est lui qui parle tandis qu’on lit dans l’Église les Saintes Écritures » SC, 7. La premiĂšre lecture Elle est tirĂ©e de l’Ancien Testament sauf pendant le temps pascal, oĂč on lit les Actes des ApĂŽtres. Elle est choisie selon trois principes – Elle se rattache Ă  l’Évangile du jour. – Les dimanches de CarĂȘme, ce sont les rĂ©cits des grandes Ă©tapes de l’histoire du salut. – En semaine, on lit en continu les principaux passages d’un mĂȘme livre. Le psaume responsorial Dieu nous a parlĂ© dans la premiĂšre lecture. Le psaume est la rĂ©ponse de l’assemblĂ©e sous forme d’une supplication ou d’une action de grĂące. Dans toute la mesure du possible, il est fait pour ĂȘtre chantĂ©. À dĂ©faut, on pourra le lire, Ă©ventuellement sur fond musical. La rĂ©ponse de l’assemblĂ©e s’exprime dans le chant de l’antienne tirĂ©e du lectionnaire2, inspirĂ©e des paroles du psaume ou du temps liturgique. Le psaume peut aussi ĂȘtre chantĂ© par toute l’assemblĂ©e, par exemple en alternance avec un chantre ou avec une chorale. La deuxiĂšme lecture Elle est tirĂ©e du Nouveau Testament et donne l’enseignement des ApĂŽtres. Acclamation de l’Évangile Par l’Évangile, c’est le Christ, Verbe de Dieu et lumiĂšre du monde qui parle. C’est ce qu’exprime la procession de l’évangĂ©liaire accompagnĂ© des cierges, de l’autel jusqu’à l’ambon, et son encensement. Toute l’assemblĂ©e se lĂšve pour l’écouter. L’allĂ©luia qui l’accompagne signifie Louez Dieu ». C’est le chant de joie et de victoire du peuple sauvĂ© par son Seigneur Ap. 19, 1-4
. Pendant le carĂȘme, en signe de pĂ©nitence, l’allĂ©luia est remplacĂ© par une autre acclamation au Christ prĂ©sent dans sa Parole. AprĂšs l’annonce de l’Évangile par le prĂȘtre, et pendant la rĂ©ponse Gloire Ă  toi Seigneur ! », chacun se signe de 3 petites croix sur le front que ta Parole pĂ©nĂštre mon intelligence », sur les lĂšvres que je la proclame » et sur le cƓur qu’elle demeure en moi ». AprĂšs la lecture de l’Évangile, la rĂ©ponse Louange Ă  toi, Seigneur JĂ©sus ! » est une vĂ©ritable confession de foi la Parole de Dieu, c’est le Seigneur JĂ©sus lui-mĂȘme. HomĂ©lie L’homĂ©lie fait partie de la liturgie et elle est fortement recommandĂ©e car elle est nĂ©cessaire pour nourrir la vie chrĂ©tienne. Elle doit expliquer un aspect des lectures scripturaires, ou bien d’un autre texte de l’ordinaire ou du propre de la messe du jour, en tenant compte soit du mystĂšre que l’on cĂ©lĂšbre, soit des besoins particuliers des auditeurs » PGMR, 65. Elle prolonge la proclamation de l’Évangile. C’est pourquoi elle est prononcĂ©e par un prĂȘtre ou un diacre. L’homĂ©lie peut ĂȘtre une intense et heureuse expĂ©rience de l’Esprit, une rencontre rĂ©confortante avec la Parole, une source constante de renouveau et de croissance » Pape François EG, 135. Symbole de la foi Credo L’assemblĂ©e rĂ©pond Ă  l’Évangile et l’homĂ©lie par la confession de foi et la priĂšre universelle. Le credo peut ĂȘtre vĂ©cu comme un acte de foi intense, particuliĂšrement dans des moments difficiles de notre vie. Nous confessons la foi des apĂŽtres, la foi de toute l’Église ! PriĂšre universelle Dans la priĂšre universelle, ou priĂšre des fidĂšles, le peuple rĂ©pond en quelque sorte Ă  la parole de Dieu reçue dans la foi et, exerçant la fonction de son sacerdoce baptismal, prĂ©sente Ă  Dieu des priĂšres pour le salut de tous » PGMR, 69. Les intentions seront habituellement – Pour les besoins de l®Église, – Pour les dirigeants des affaires publiques et le salut du monde entier, – Pour ceux qui sont accablĂ©s par toutes sortes de difficultĂ©s, – Pour la communautĂ© locale. Il faut que les intentions soient sobres, composĂ©es avec une sage libertĂ© et en peu de mots, et qu’elles expriment la supplication de toute la communautĂ© » PGMR, 70-71. Il est bon de porter les intentions du monde de maniĂšre concrĂšte. Si des Ă©vĂ©nements importants ont lieu dans l’actualitĂ©, c’est le rĂŽle de l’Église de les porter dans la priĂšre, en veillant Ă  une formulation non pas idĂ©ologique mais conforme au message Ă©vangĂ©lique. 2. Livre liturgique oĂč se trouvent les lectures de la Messe LIRE À LA MESSE – PrĂ©parer la lecture et demeurer dans la priĂšre avant et pendant. C’est l’Esprit Saint qui donne aux lecteurs et aux auditeurs, selon les dispositions de leurs cƓurs, l’intelligence spirituelle de la Parole de Dieu » CEC, 1101. – Ne pas simplement suivre le texte, mais le proclamer. Lire lentement, en articulant. – S’effacer devant la Parole en Ă©vitant ce qui pourrait attirer l’attention sur nous tenue, contact visuel avec l’assemblĂ©e et autres “effets spĂ©ciaux”. 3 La liturgie eucharistique À la derniĂšre CĂšne, le Christ a instituĂ© le sacrifice et le banquet pascal par lequel le sacrifice de la croix est sans cesse rendu prĂ©sent dans l®Église lorsque le prĂȘtre, reprĂ©sentant le Christ Seigneur, accomplit cela mĂȘme que le Seigneur lui-mĂȘme a fait et qu’il a transmis Ă  ses disciples pour qu’ils le fassent en mĂ©moire de lui. 
 Aussi l’Église a-t-elle organisĂ© toute la cĂ©lĂ©bration de la liturgie eucharistique en parties qui correspondent Ă  ces paroles et Ă  ces actes du Christ. » PGMR, 72. PrĂ©paration et prĂ©sentation des dons Le pain et le vin sont prĂ©sentĂ©s sur l’autel pour que Dieu les consacre par la puissance de son Esprit. De la mĂȘme maniĂšre, les fidĂšles s’offrent en hostie vivante, sainte, agrĂ©able Ă  Dieu » Rm 12, 1, pour ĂȘtre unis Ă  l’offrande de JĂ©sus et consacrĂ©s par la puissance du mĂȘme Esprit. Notre participation active s’exprime par notre don concret Ă  la quĂȘte ainsi que l’offrande de tout ce qui fait notre vie. On encense alors tout ce qui est offert Ă  Dieu les dons dĂ©posĂ©s sur l’autel, le prĂȘtre et toute l’assemblĂ©e. Le Christ va tout saisir. La procession qui apporte les dons est accompagnĂ©e par le chant d’offertoire qui se prolonge au moins jusqu’à ce que les dons aient Ă©tĂ© dĂ©posĂ©s sur lÂŽautel. Le chant peut toujours accompagner les rites de l’offertoire, mĂȘme lorsqu’il n’y a pas de procession des dons » PGMR, 74. PriĂšre eucharistique C’est maintenant que commence ce qui est le centre et le sommet de toute la cĂ©lĂ©bration la PriĂšre eucharistique, priĂšre dÂŽaction de grĂące et de sanctification. Le prĂȘtre invite le peuple Ă  Ă©lever les cƓurs vers le Seigneur dans la priĂšre et lÂŽaction de grĂące, et il se lÂŽassocie dans la priĂšre qu’il adresse Ă  Dieu le PĂšre par JĂ©sus Christ dans l’Esprit Saint, au nom de toute la communautĂ©. Le sens de cette priĂšre est que toute lÂŽassemblĂ©e des fidĂšles s’unisse au Christ dans la confession des hauts faits de Dieu et dans lÂŽoffrande du sacrifice. La PriĂšre eucharistique exige que tous l’écoutent avec respect et en silence » PGMR, 78. Quand des enfants participent Ă  la messe, il est important de les aider autant que possible Ă  entrer dans ce silence et Ă  prendre conscience de ce moment particulier qui est le centre et le sommet de toute la cĂ©lĂ©bration. Le missel romain propose quatre priĂšres eucharistiques principales. Toutes reprennent les Ă©lĂ©ments principaux suivants PGMR, 79 ‱ L’action de grĂące surtout dans la prĂ©face Le prĂȘtre, au nom de tout le peuple, glorifie Dieu le PĂšre et lui rend grĂące pour toute l’Ɠuvre de salut ou pour un de ses aspects particuliers, selon la diversitĂ© des jours, des fĂȘtes ou des temps. » ‱ L’acclamation Tout le peuple reprend cette action de grĂące, en union avec les anges et les saints, dans le chant du Sanctus, acclamation d’origine biblique qui mĂȘle le chant d’adoration des anges Is 6, 3, et l’attente messianique Ps 118, 26 que chantent les foules Ă  l’entrĂ©e de JĂ©sus Ă  JĂ©rusalem Mt 21, 9. Hosanna signifiait Ă  l’origine De grĂące, sauve-nous ! » et est devenue une acclamation de louange liĂ©e Ă  la venue du Messie. ‱ L’épiclĂšse Par des invocations particuliĂšres, l’Église implore la puissance de l’Esprit Saint pour que les dons offerts par les hommes soient consacrĂ©s, c’est-Ă -dire deviennent le Corps et le Sang du Christ, et pour que la victime sans tache, qui sera reçue dans la communion, profite au salut de ceux qui vont y participer. » ‱ Le rĂ©cit de l’institution et la consĂ©cration Par les paroles et les actions du Christ s’accomplit le sacrifice que le Christ lui-mĂȘme a instituĂ© Ă  la derniĂšre CĂšne lorsqu’il offrit son Corps et son Sang sous les espĂšces du pain et du vin, les donna Ă  manger et Ă  boire aux ApĂŽtres et leur laissa l’ordre de perpĂ©tuer ce mystĂšre. » ‱ L’anamnĂšse En accomplissant l’ordre reçu du Christ Seigneur par l’intermĂ©diaire des ApĂŽtres, l’Église fait mĂ©moire du Christ lui-mĂȘme, cĂ©lĂ©brant principalement le mĂ©morial de sa Passion bienheureuse, de sa glorieuse RĂ©surrection, et de son Ascension dans le ciel. » L’acclamation d’anamnĂšse est chantĂ©e ou dite selon l’invitation choisie par le cĂ©lĂ©brant. Il en existe plusieurs formes, qui comportent toujours les trois dimensions du mĂ©morial » mort – rĂ©surrection – venue dans la gloire prĂ©vues par le Missel et s’adressent directement au Christ. ‱ LÂŽoffrande Au cƓur de cette mĂ©moire, l’Église, surtout celle qui est actuellement ici rassemblĂ©e, offre au PĂšre, dans le Saint-Esprit, la victime sans tache. L’Église veut que les fidĂšles non seulement offrent cette victime sans tache, mais encore qu’ils apprennent Ă  sÂŽoffrir eux-mĂȘmes et soient parfaitement rĂ©unis, de jour en jour, par la mĂ©diation du Christ, dans l’unitĂ© avec Dieu et entre eux, pour qu’à la fin Dieu soit tout en tous. Les priĂšres eucharistiques 2, 3 et 4 comportent ici une seconde Ă©piclĂšse sur le peuple, qui demande par le don de l’Esprit, l’unitĂ© des communiants et leur transformation en offrande vivante au PĂšre. ‱ Les intercessions On y exprime que l’Eucharistie est cĂ©lĂ©brĂ©e en union avec toute l’Église, celle du ciel comme celle de la terre, et que l’offrande est faite pour elle et pour tous ses membres vivants et morts, qui ont Ă©tĂ© appelĂ©s Ă  participer Ă  la rĂ©demption et au salut obtenus par le Corps et le Sang du Christ. » ‱ La doxologie finale Elle exprime la glorification de Dieu ; elle est ratifiĂ©e et conclue par l’acclamation du peuple Amen. » Les rites de communion Puisque la cĂ©lĂ©bration eucharistique est le banquet pascal, il convient que, selon l’ordre du Seigneur, son corps et son sang soient reçus par les fidĂšles bien prĂ©parĂ©s comme une nourriture spirituelle. » PGMR, 80. ‱ Le Notre PĂšre. Pris dans l’offrande du Christ et devenus ses frĂšres, nous disons la priĂšre qu’il nous a transmise et qui nous prĂ©pare Ă  recevoir le pain vĂ©ritable. ‱ Le rite de la paix. L’Église implore la paix et lÂŽunitĂ© pour elle-mĂȘme et toute la famille humaine, et les fidĂšles expriment leur communion dans l’Église ainsi que leur amour mutuel avant de communier au sacrement » PGMR, 82. ‱ Le geste de la fraction. Accompli par le Christ Ă  la derniĂšre CĂšne 
 [il] signifie que les multiples fidĂšles, dans la communion Ă  l’unique pain de vie, qui est le Christ, mort et ressuscitĂ© pour le salut du monde, deviennent un seul Corps 1 Co 10, 17. Le prĂȘtre rompt le pain et met dans le calice une parcelle de l’hostie pour signifier l’unitĂ© du corps et du sang du Seigneur dans l’Ɠuvre du salut, c’est-Ă - dire le corps du Christ JĂ©sus vivant et glorieux. » PGMR, 83. ‱ L’Agneau de Dieu Agnus Dei. Cette invocation accompagne la fraction du pain et peut donc ĂȘtre rĂ©pĂ©tĂ©e autant de fois qu’il est nĂ©cessaire jusqu’à ce que le rite soit achevĂ©. La derniĂšre fois, elle est conclue par les mots Dona nobis pacem Donne-nous la paix. » PGMR, 83. La communion Les fruits de la communion au corps du Christ ressuscitĂ© sont immenses. Elle est une nourriture, elle nous sĂ©pare du pĂ©chĂ©, elle allume le feu de la charitĂ© en nous, elle rĂ©alise l’unitĂ© de l’Église cf. CEC, 1391 Ă  1397. Aussi, communions avec conscience du don qui nous est fait, des exigences de conversion qu’il suppose en gardant prĂ©sent Ă  l’esprit que l’Eucharistie n’est pas une rĂ©compense mais un moyen de guĂ©rison et de sanctification. Il est possible de communier dans la bouche et dans la main. Pendant que le prĂȘtre consomme le sacrement, on commence le chant de communion pour exprimer par lÂŽunitĂ© des voix lÂŽunion spirituelle entre les communiants, montrer la joie du cƓur et mettre davantage en lumiĂšre le caractĂšre “communautaire” de la procession qui conduit Ă  la rĂ©ception de l’Eucharistie. Le chant se prolonge pendant que les fidĂšles communient. 
. » PGMR, 86. N’oublions pas de garder un moment de silence. Toujours important dans la liturgie, il l’est particuliĂšrement aprĂšs la communion. ‱ La priĂšre aprĂšs la communion rĂ©capitule tout ce qui vient d’ĂȘtre vĂ©cu en demandant que se rĂ©alise dans toute notre vie ce qui a Ă©tĂ© vĂ©cu pendant la messe. L’IMPORTANCE DU SILENCE Au Dieu qui s’adresse Ă  nous, nous rĂ©pondons par le chant ou la priĂšre. Mais le grand mystĂšre qui dĂ©passe toute parole nous appelle au silence. Et le silence, Ă  l’évidence, fait aussi partie de la liturgie. Il faut que ce silence soit plein 
. Un silence qui n’est pas une pause oĂč mille pensĂ©es nous assaillent, mais un recueillement qui nous apporte la paix intĂ©rieure, qui nous laisse respirer et dĂ©couvrir l’essentiel. » JOSEPH RATZINGER, L’ESPRIT DE LA LITURGIE 4 Les rites de conclusion ‱ Les rites de conclusion comportent – De brĂšves annonces, si elles sont nĂ©cessaires ; – La salutation et la bĂ©nĂ©diction du prĂȘtre qui, certains jours et Ă  certaines occasions, est enrichie et dĂ©veloppĂ©e par la priĂšre sur lÂŽassemblĂ©e ou une autre formule solennelle ; – L’envoi du peuple par le diacre ou le prĂȘtre afin que chacun retourne Ă  ses bonnes Ɠuvres, en louant et bĂ©nissant le Seigneur. – Le baiser de l’autel par le prĂȘtre et le diacre, suivi de l’inclination profonde vers l’autel par le prĂȘtre, le diacre et les autres ministres » PGMR, 90. L’envoi Les formules d’envoi expriment bien ce mouvement de l’Eucharistie – Allez dans la paix du Christ» – Allez porter l’Évangile du Seigneur » – Allez en paix, glorifiez le Seigneur par votre vie» – Allez en paix.» ‱ Chant d’envoi. MĂȘme si le Missel ne prĂ©voit pas de chant final, il est souvent d’usage d’en prendre un. Il prolonge alors le rite d’envoi comme un appel Ă  tĂ©moigner et Ă  partager, dans la joie et l’action de grĂące, le don reçu de Dieu. Un instrumental entraĂźnant peut aussi accompagner ce mouvement de l’envoi. POUR ALLER PLUS LOIN La messe et la liturgie expliquĂ©es
 aux cathos, Alain Dumont Editions de l’Emmanuel 2013 . 48 724 156 792 539 291 791 632

invitation a la priere commune lors de l office